Série de panels ISS/ShapeMed@ Lyon: «Valorise-t-on l’apport des sciences humaines et sociales en santé?»
L’Institut Santé et société (Université du Québec à Montréal) et l’Université Lumière Lyon 2 dans le cadre du projet Shape-Med@Lyon proposent une première activité commune à l’hiver 2025 regroupant des chercheurs et chercheuses issus·es de différentes institutions et disciplines pour (tenter de) répondre à cette épineuse question :
Valorise-t-on l’apport des sciences humaines et sociales en santé ?
Deux panels en lien avec cette thématique se tiendront le 21 et 25 février de 10 h à 12 h heure de l’est (16 h à 18 h en France), en mode hybride (à la fois en présence dans les deux institutions et en ligne par Zoom).
Panel 1 : Recherche en santé : quelles limites et quels bénéfices ?
21 février 10 h à 12 h, HNE (16 h à 18 h en France)
Dans le contexte de la recherche interdisciplinaire, quels sont les obstacles, contraintes ou limites à la participation des chercheuses/chercheurs en sciences humaines et sociales aux projets initiés par les chercheuses/chercheurs appartenant à d’autres domaines des sciences de la santé ? Quels sont les incitatifs ou les raisons de s’impliquer dans ce type de recherche ? Comment valoriser l’apport des sciences humaines et sociales dans ce cadre ?
Avec
Kim Lavoie (psychologie), Cécile Aenishaenslin (médecine vétérinaire, épidémiologie), Fabrice Vavre (biologie évolutive, CNRS), animé par Marie Préau (psychologie sociale)
Pour voir le programme complet >>
Panel 2 - Politiques publiques en santé - 25 février 2025 10 h à 12 h, HNE (16 h à 18 h en France)
Il existe un sentiment à l’effet que les politiques publiques en matière de santé ne s’appuient pas suffisamment sur les données provenant des sciences sociales. Ce sentiment est-il justifié ? Comment ces données pourraient-elles alimenter les divers niveaux politiques ? À quelles conditions ces données peuvent-elles être utiles ? Les sciences humaines et sociales peuvent-elles produire ce que d’aucuns considèrent comme des « données probantes » ? Comment s’assurer que ces données sont accessibles et utilisables par les actrices et acteurs de la décision publique ? Y a-t-il des domaines où elles seraient particulièrement utiles ou bien encore (et peut-être particulièrement négligées) ?
Avec
Alexandre Coutant (communication, confiance, politiques publiques); Céline De Laurens (Mairie de Lyon, santé et prévention); Annie Montreuil (Institut national de santé publique du Québec); Gwenola Le Naour (politiste, risques sanitaires et environnementaux)